Pour cette chronique de leur dernier album, Dreams of Being Dust, vous me permettrez d’abréger le nom du groupe en The World Is a Beautiful Place.
Tindal, un jeune glandeur, reçoit la visite de sa « tante », qui lui demande de l’aider à déménager un canapé pendant une attaque extra-terrestre. Ainsi commence I’m Not Disappointed Just Mad, novella de Daryl Gregory.
Il y a des albums qui proposent une musique surprenante, comme Au bord du précipice, de Contemplation, qui mélange doom, death, folk, atmoblack et… dub.
Ce troisième et dernier tome de Outlaws, spin-off de la série Orbital, est intitulé Prémisses. Ce qui est un peu paradoxal, mais pas très étonnant.
Uriah Heep fait partie de ces groupes emblématiques des seventies que je connaissais pas, ou si peu. Du coup, quand j’ai vu Salisbury aux puces, je l’ai pris.
Au hasard de mes visionnages, je suis récemment tombé sur une nouvelle pépite du rock français: Moundrag, via cet album au nom évocateur de Deux.
Si vous suivez mon actualité, vous savez que ce mois a été ponctué par des pépins de santé. Mais ça ne change pas grand-chose au bilan mensuel création et mécénat d’octobre 2025.
On ne va pas se mentir: enregistrer plus d’une demi-heure de vidéo quand on est enroué, c’est pas idéal. Mais il y a un épisode de Radio-Erdorin à faire, celui d’octobre 2025.
Il ne se passe jamais rien en Suisse. Sauf dans les polars, comme Les Protégés de Sainte Kinga, de Marc Voltenauer, avec une prise d’otage dans une mine de sel.
Il est temps pour moi de rattraper un album que je m’étais promis d’explorer après le concert de Mortuorial Eclipse lors du CrabCore Fest: Urushdaur.
Un spectateur m’avait recommandé de m’intéresser à Vintersorg pendant un des directs de Radio-Erdorin, alors j’ai attendu que sorte ce Vattenkrafternas Spel.
Il est temps de dépoussiérer les mythes grecs à la mode ichorpunk et de replonger dans les mondes infernaux, puis partir à l’ascension de l’Olympe: Hades II est sorti!
Angry Metal Guy m’a encore appâté à la sucrerie: Subnivium, de Queen of Dreams. Power-metal, mélodie et claviers par paquets, chanteuse, fantasy, dragons et tout! Yolo!
Il y a très longtemps, dans une lointaine galaxie, vivait un homme qui voulait raconter des histoires. Son aventure continue dans ce deuxième épisode des Guerres de Lucas.
L’ambiance musicale de ces derniers mois est très « gatheringienne ». C’est en partie l’inspiration que je retrouve dans le premier album de Æl-Fierlen, All Is Far Away.
Avec There Lingers One Who’s Long Forgotten, Black Narcissus se revendique des anciens groupes de post-rock dont les titres compensaient l’absence de paroles.
J’étais prêt à écrire que j’attendais avec anticipation Darkness Invisible, de Mors Principium Est… avant de m’apercevoir que j’avais raté le précédent opus du groupe.
Dans un avenir incertain et glacé, où l’humanité lutte contre les restes d’une IA qui a tenté de la détruire, Avarus reçoit un Message qui n’aurait jamais dû arriver.
Vous savez ce qui est plus cool que le rétro-prog? Le rétro-néo-prog! Vous ne me croyez pas? Allez jeter une oreille sur Wind and Memories, de Untold Stories.